Quand on parle de batterie de vélo électrique, on pense souvent à l’autonomie, au voltage, ou au prix. Mais derrière la coque, il y a des dizaines de cellules, souvent ignorées… et pourtant essentielles.
Voici ce qu’il faut savoir pour ne pas se faire avoir.
1. Ce sont elles qui font (vraiment) l’autonomie
Plus la cellule est capable de stocker d’énergie (en mAh), plus votre batterie vous emmène loin.
Deux batteries identiques en apparence peuvent cacher des cellules très différentes. L’autonomie n’est donc pas toujours liée à la taille du boîtier.
2. Toutes les cellules ne se valent pas
Il existe des milliers de références, et toutes n’ont pas la même durée de vie.
Chez 40Watts, on n’utilise que des cellules de grandes marques (Samsung, LG…), connues pour tenir 800 à 1 000 cycles à 80 % de capacité. Ce n’est pas le cas de toutes.
3. L’origine douteuse, c’est fréquent
Certaines cellules vendues comme “neuves” sont des reconditionnées ou des copies, souvent issues de lots peu traçables. Difficile de le savoir une fois scellé… sauf si l’atelier est transparent.
4. Plus c’est stable, plus c’est durable
Des cellules bien équilibrées (même tension, même capacité) évitent les problèmes de chauffe, de coupure, ou d’usure prématurée.
Un bon reconditionnement, ce n’est pas juste “mettre des cellules neuves”, c’est équilibrer intelligemment tout le pack.
5. Ce que vous pouvez demander à un atelier
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La marque des cellules
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Le nombre de cycles garantis
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Le test d’équilibrage effectué
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La capacité réelle en Wh (et pas juste une estimation)